Le nouveau testament, est l’accomplissement parfaitement et intelligente du génie de Dieu. Le plan de Dieu, avait été révélé de manière progressive. Ainsi donc, tout l’ancien testament servi d’une sorte d’antichambre avec comme objectif principal de planter le décor de l’œuvre rédemptrice. Cette œuvre avait été annoncée dans le livre de la Genèse (Gse 3.15).
Un des Caractéristiques de l’Ancien Testament
Dans son ensemble, l’anicien testament est caractérisé notamment par la notion de la substitution. Ainsi par exemple, déjà en Gse 3.21, nous voyons Dieu, qui recouvre Adam et Eve, de la peau d’une bête tuée. La nudité ne pouvait pas etre couverte par des feuilles, comme ils avaient imaginés. Voilà donc le premier acte de substitution. Une bête tuée, afin de couvrir la nudité de l’homme laquelle a été exposée par le péché. Plus tard, nous voyons encore une bête être tuer à la place d’Isaac, réclamé en sacrifice par Dieu Gse 22.13. L’exemple majeur sur cette question de la substitution, est l’institution de la pacque juive (Exode 12). Encore une fois Dieu, qui épargne les fils ainés des Israélite, en exigeant qu’un agneau soi égorgé.
Le Grand Jour des Expiations : le Cœur de l’Ancien Testament
Dans le livre de Lévitique (Ch.16), nous y trouvons un système de rémission de péché unique en son genre. Trois choses expliquent le fondement de ce système.
Caractères et objectif du système Aaronique d’expiation du péché
Tout d’abord, ce système, propose l’expiation du péché en un seul jour. Contrairement aux systèmes des cultes des peuples sans Dieu. En suite, la pensée profonde de ce système est la miséricorde de Dieu envers le coupable. Cette grâce ne sera manifeste de manière claire et évidente, qu’à la venue du Messie des siècles plus tard. Et en fin, ce système Aaronique d’expiation du Péché, n’avais pas pour mission de rendre l’homme pure, et parfaite. Il avait entre autre pour objectif, de rappeler l’Homme sa situation (Voir Gse 3.1-12) du jardin d’Eden. En effet, le voile qui séparé les deux parties intérieure du tabernacle, porté (Voir Gse3.24) des images des chérubins déployant des épées, image de la colère divine, suite au péché commis par l’Homme.
La Concrétisation par Christ de l’Image du Grand Jour d’Expiation par sa Mort Substitutive sur la Croix
L’évangile de Christ, selon Marc fait remarquer ce qui suit. D’une part la nette corrélation entre la pensée des prophètes de l’ancien testament (Voir Marc 1), et la suite logique des événements autour de la personne et de l’œuvre de Christ. Et d’autre part, le parfait accomplissement des images et symbolisme de l’ancien testament. Les événements autour de la mort de Christ, sont de nature hautement significative. Nous allons analyser cela de manière successive, afin de saisir le sens et la portée de différents rôles joués principalement par ces trois personnes (Pilate l’arbitre, Barabbas le bouc émissaire, Christ l’agneau de Dieu).
Pilate l’Arbitre
Saisi par les autorités religieuses, avec des directives claires et précise. Pilate, tel un arbitre, n’avais aucune initiative relevant de sa propre autorité. Son action dans la mort de Christ, fut réduite à celle du gardien de l’ordre public. Pour leur part, le souverain sacrificateur, et les autres autorités religieuses ont démontré leur puissante influence sur le peuple, par la manipulation. Cela fut une preuve efficace de leur capacité de provoquer le trouble et de perturber l’ordre public. Par ailleurs cela à constitué une sorte de soft power des autorités religieuses sur Pilate, juste au cas où, il oserait les faire marcher. Ainsi donc, par cette implication le souverain sacrificateur et toute sa band, ont réussit à accomplir leur mission (Voir Lév.4.5), ainsi que leur rôle tel que décrit dans les écritures. Par les mains de Pilate donc, le souverain sacrificateur a pu mettre à mort le Fils de Dieu, l’agneau de Dieu (Voir Lév.14).
Pilate fait observé la Loi Juive
Comme un grand metteur en scène, Dieu été au contrôle de chaque aspect du déroulement de la mise à mort de Christ. Voilà pourquoi, Dieu avait pris le soin pour que, la mise en application de la Loi Juive, soi observé avec la plus grande rigueur. La rigueur Romaine suffisait à cet effet. La rigueur Romaine avait donc rendu possible l’accomplissement de toute la Loi, et des toutes les prophéties messianique (Voir Psaume 22). Le Romain ont pourvu la rigueur. Et les autorités religieuse ont pourvu de la précision dans l’observation des écritures. Afin que la mort de Christ par crucifixion soi l’accomplissement des écritures.
La Sage Divine
Par son implication de veiller sur l’ordre public, Pilate sans, s’en rendre compte, été sous le contrôle divin. Cela avait pour conséquence, le fait principal, de voir Christ être crucifier, et non pas assassiné, selon la préméditation des autorités religieuses (Voir Marc 3.6). Car la population été partagée, d’une part, une très faible minorité, étant favorable pour voir Christ être relâcher. Et d’autre part, une grande majorité, réclamant la mise à mort de Christ par crucifixion. Cette demande, de voir Christ crucifié, fut soufflée au peuple, par mes autorités religieuse. Ainsi donc, tous les éléments étaient réunis pour que Christ, soit déchiré par une révolte populaire. Mais pareille chose, ne pouvais pas se produire. En effet, toutes les prophéties de l’ancien testament (Voir Exode 12, Esaïe 53, Psaumes 22), ont prédit que le messie devrait souffrir.
Dieu avait le contrôle de tout
Cela montre l’image d’une chose organisée, une mort mise en pratique, par une intelligence prédéfinie. C’est donc pour assurer cet aspect des choses, que Dieu, dans sa souveraineté s’était servit de la rigoureuse autorité Romaine, afin que les écritures sois mise en pratique.
Pilate n’avais aucune partie prise, dans la question de la mise en mort de Christ. Et plus encore, il avait même pris l’initiative de relâcher Jésus ; cela, par le mécanisme de la relaxation habituelle d’un prisonnier, à l’occasion des fêtes juives. Cependant dans son plan, Dieu avait décidé comme tel. Barabbas serais relâché, et Christ, condamner à mort.
Barabbas le Bouc Azazel
Le Bouc qui s’en va. Le contexte biblique du Bouc Azazel, est présenté dans le livre de Lévitique au chapitre 16. L’élément principal, est le jour d’expiation. C’est le jour où tous les peuples juifs, étaient en expectative pour la suite de leur vie. Car l’offrande annuelle, pour obtenir la couverture du péché, était entrain d’être présenté. Pour les juifs c’était un grand. La loi fixant la procédure sur cette offrande, exigée que deux boucs soient présentés devant le souverain sacrificateur. Ce dernier, devait jeter deux sorts. D’une part, le sort pour l’Eternel. Le sort pour l’Eternel, avait pour finalité, de confirmer le choix de Dieu, de l’animal sur lequel devrais se réaliser le sacrifice d’expiation des péchés. Notons que ce sacrifice, n’était qu’une sorte d’image, dont la vraie réalisation fut faite par la mort de Christ des années après sur la croix.
Un Simple Transfère
D’autre part, le sort pour Azazel. Ce sort désigné l’animal, sur lequel, un simple transfère des péchés était réaliser, par le moyen de la déclaration. Nous qualifions ce transfère de simple, par ce que, la mort frappé l’animal, sur lequel le sort à l’Eternel été tombé. Ainsi donc, le bouc pour le sacrifice, subissait la conséquence des péchés (la culpabilité), dont le transfère été fait sur le bouc qui s’en va. Il faudrait noter que le transfère des péchés, ne signifie pas l’annulation des conséquences des péchés.
La Loi dans le Jardin d’Eden
Car déjà dans le livre de la Genèse (Chap. 9.4-6), Dieu avais fixé la norme selon laquelle, le même acte, qui cause préjudice à autrui, soit l’acte par lequel, le préjudice est réparer. C’est-à-dire la raison même, qui justifie le sacrifice ou la mise a mort de l’animal sur qui est tombé le sort de l’Eternel, exigé que ce dernier soi sacrifié. Alors que le Bouc qui s’en va, était libéré. Les deux boucs, sont d’une grande importance, cependant, nous devons comprendre la juste importance et le rôle unique de tout un chacun.
Cette offrande exigée que les boucs soient présentés devant le souverain sacrificateur qui jetterait le sort, afin de saisir le choix de Dieu, pour la suite du sacrifice.
La Fausseté à propos du Bouc Emissaire
Le livre de Lévitique, est le principal livre dans la Bible, qui fait l’interdiction claire et net de la pratique de la démonologie (Voir Lév.17.7). C’est la principale raison, qui écarte, la fausse interprétation selon laquelle, le bouc émissaire, serait une offrande, offerte au démon qui est dans le désert. En outre, la pensé biblique relative au désert, va dans le sens d’un lieu, où le Seigneur forme, et forge ses serviteurs (Voir Osée 2.14), un lieu où l’ont va pour se préparer (Voir Matt.3.1-11 ; 4.1-10). Donc il n’est vraiment pas correct, de voir la chose de cette manière.
Christ l’Agneau de Dieu
Parmi tous ceux qui sont nés ici bas sur terre, il n’y a personne, comme Christ, dont la biographie avait précédée sa naissance. D’une manière, générale le texte du Prophète Esaïe, sont regardé comme une sorte de biographie du Seigneur Jésus-Christ.
Christ dans les Prophéties d’Esaïe (Esaïe 8.23 ; 9.1-6/ 53 ; 61.1-3)
Les trois principales mentions prophétiques du Seigneur Jésus-Christ, dans le livre du prophète Esaïe, parlent systématiquement de la naissance, du ministère, et de la mort du Seigneur Jésus-Christ. Le Christ fais son entré dans le monde des hommes, comme la grande lumière. Cette lumière, qui vient pour éclabousser les ténèbres dans lesquels, les hommes ont été plongés depuis le jardin d’éden. Et la mort du Seigneur, st présenté déjà comme un moyen de rédemption pour un grand nombre (Esa. 53).
Christ retenu comme l’agneau de sacrifice (Marc 15.15)
Impuissant devant la pression de la foule, Pilate, livre Christ, afin qu’on le fouet et que par la suite, qu’il soit crucifié. En face de lui, en ce jours là, Pilate avait d’un coté Barabbas, arrêter pour sédition et pour meurtre ; et de l’autre part, Pilate, regardé Jésus Christ, arrêté aussi comme Barabbas, mais pas pour la même raison. Christ fut arrêté pour n’avoir rien fais de mal. De manière prophétique, Jean B. avait une fois, le présentant crié disant, voici l’agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde (Jean 1.29). Ainsi, au jour de sa crucifixion, Christ devant Pilate, a été retenu comme l’agneau de Dieu qui ôte le péché. Et Barabbas fut relâché comme le Bouc qui s’en va (Voir Lév.16).
Sache que c’est pour Toi…
Comme l’agneau qui ôte le péché du monde, Christ avait tout fait uniquement par amour. Cela fut ainsi, afin qu’aucune personne ne puisse présenter une excuse, face à la question du salut, dont le prix ne pouvait être payé que par Dieu. Et c’est donc par obéissance, que Dieu le fils, est venu sur terre, portant un corps, du péché, et acceptât de prendre cette placé de condamner. Il est écrit : « Afin que quiconque croit en lui ne périssent pas » (…) (Voir Jean 3.16).
Toi qui a lu jusqu’à ce point, sache que tu peux être sauvé, si cela n’est pas encore fait.
Fait avec foi cette courte Prière :
Seigneur Jésus-Christ, je te confesse aujourd’hui comme mon SEIGNEUR dans ma vie. Merci pour avoir pris ma place à la Croix, afin de pardonner mon PECHE. Merci d’avoir fais de moi un enfant de Dieu.
Amen.
